 LE Petit ROBERT : "Obtenir un bon
résultat, atteindre ce que l'on cherchait".
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P.E.VICTOR : " La seule chose que l'on est sûr de ne pas
réussir est celle que l'on ne tente pas".
J.P.ASTOLFI
:" Il
faut admettre qu'aucune méthode employée de manière exclusive n'a la vertu
à elle seule à faire réussir tous les élèves" |
Loi d'Orientation
sur l'éducation ( 10 Juillet 1989.BO spécial n°4 du 31 Août 1989)
: Pour assurer l'égalité et la réussite des élèves, l'enseignement est adapté à
leur diversité par une continuité éducative au cours de chaque cycle et
tout au long de la scolarité.
Mission du professeur (BO n°22 du 29 Mai 1997)
:" Le professeur a la responsabilité de
créer dans la classe les conditions favorables à la réussite de
tous."
Nouveau contrat pour
l'Ecole.(BO
n°25 du 23 Juin 1994) : "Le collège est
désormais organisé en trois cycles (6ème, 5ème/4ème et 3ème). Cette
nouvelle organisation du collège répond à un double impératif : proposer à
tous les élèves, jusqu'à la classe de troisième, des parcours de réussite
et apporter des réponses adaptées aux élèves en difficulté."
L'EPS au collège
(ARRETE du 18 Juin 1996) :
"Mise en oeuvre du
programme en EPS : Des actions de
soutien peuvent être envisagées pour les élèves présentant, à leur arrivée
au collège, des insuffisances ou des lacunes. C'est particulièrement le
cas en natation, compte tenu de l'importance que revêt, pour chaque
individu, le fait de savoir nager. Tout doit être mis en oeuvre pour que
cette compétence soit acquise dès la fin de la classe de Sixième, période
la plus favorable à ce rattrapage".
EPS en classe de seconde générale et technologique
(BO hors série n°6 du 29 Août 2002)
: "La confrontation directe et étroite à la pratique
des activités physiques implique l'acquisition de méthodes, d'attitudes,
de démarches réflexives favorables aux apprentissages... Ces outils ne
sont pas construits indépendamment de la pratique des APSA. Mais ils
doivent être définis et transmis si l'on veut offrir aux lycéens la
possibilité d'accéder aux savoirs qui permettent de conforter un
projet personnel".
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G.C.ROBERTS
(1992) : Affirme qu'un climat de maîtrise est plus à
même de créer des comportements propices à la réussite.
C.GAUTHIER ("L'effet enseignant" in Éduquer et
former. 2001) : "Il existe une relation positive et
significative entre la clarté de la présentation et la réussite des
élèves....La réussite des élèves est plus élevée quand les contenus sont
présentés avec suffisamment de redondance... Le fait d'exiger une réponse
semble favoriser la réussite des apprenants
J.PIAGET ("Réussir et comprendre". 1974) : "Réussir, c'est
comprendre en action une situation donnée, à un degré suffisant pour
atteindre les buts proposés, et comprendre c'est réussir à dominer en
pensée les mêmes situations jusqu'à pouvoir résoudre les problèmes
qu'elles posent quant au pourquoi et au comment des liaisons constatées et
par ailleurs utilisées dans l'action".
M.PIERON ("Analyser l'enseignement pour mieux
enseigner" in Dossier EPS n°16. 1993) : Explique que de
nombreuses recherches ont montré une relation significative entre le temps
d'engagement moteur des élèves et le succès de la réalisation de la
tâche.
L.ALLAL (1979) : Parle de
" décalage optimal" entre la structure de la tâche et la structure de
l'élève. La régulation de la complexité de la tâche répond à ce principe
et permet de placer les élèves en situation de réussite.
B.BLOOM ("Caractéristiques individuelles et apprentissages
scolaires". 1979) : Constate que la réussite scolaire
est directement corrélée au temps d'engagement dans la
pratique.
M.C.WANG- G.D.HAERTEL et H.J.WALBERG
("Toward o knowledge base for school learning". 1993. In Review of Education Research 63)
: Suite à une analyse de
plus de 260 textes scientifiques les auteurs concluent que la motivation
et les stratégies d'apprentissage efficaces font partie des sept éléments
les plus importants pour expliquer le succès scolaire.
J.LAUTREY (" Classe sociale, milieu familial,
intelligence". 1980) : Montre les liens entre le développement cognitif de
l'enfant et les pratiques éducatives familiales qu'il a classé en trois
catégories: 1) Milieu faiblement structuré, caractérisé par
l'absence de règles sociales explicites. 2) Milieu souplement structuré,
dans lequel existent des règles modulées par les circonstances. 3)
Milieu rigidement structuré, dans lequel les règles s'appliquent
quelles que soient les circonstances. Les résultats montrent que
l'attitude souplement structurée, typique d'une éducation " démocratique",
est en relation avec une meilleure réussite des enfants à des épreuves
intellectuelles, quel que soit le milieu d'origine. On la rencontre
cependant plus fréquemment dans les milieux de niveau socioculturel
élevé. Pour lui, les élèves qui réussissent le mieux à l'école sont ceux
qui bénéficient d'un milieu familial équilibré, dans lequel il existe à la
fois des règles de conduite stables mais aussi des possibilités de
négociation. Lorsque les règles sont énoncées clairement et que des
exceptions sont issues de la négociation, l'enfant peut apprendre à
raisonner, à argumenter, pour arracher des espaces de souplesse, et faire
ainsi fonctionner la logique hypothético-déductive ("Si.... alors..."), au
lieu d'agir selon ses impulsions.
P.BOURDIEU ("Raisons pratiques. Sur la théorie de
l'action".1994) :
Affirme que le fonctionnement de l’école est tel que la réussite scolaire
est influencée par l’origine sociale. Le système scolaire maintient
l'ordre existant.
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 J.J.SARTHOU (
"Concrétiser la pédagogie de la réussite" in Revue EPS n° 252.
1985) : Compte tenu du fait que la pédagogie de la réussite "
consiste à organiser, structurer, différencier les contenus de telle
manière que l'élève puisse être en mesure de s'investir dans la tache
proposée" , l'auteur propose un "arbre technique" (simplification-
complexification) pour le plaquage en rugby et la roulade avant en
gymnastique afin de faire correspondre le niveau d'exigence de la tache
aux capacités de chaque élève et permettre ainsi à chacun de réussir
.
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 Compte tenu du
fait ,selon A DE PERETTI ,que " la diversification des rôles est un
facteur de motivation et de réussite" , nous privilégierons
systématiquement en escalade une organisation du cycle basé sur les
différents rôles inhérents à cette pratique : assureur,
pareur, conseiller, observateur, responsable des étirements,
responsable du rangement du matériel. Ces compétences intégrées aux
contenus d'enseignement seront évaluées en fin de cycle.
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